Karin, Gurmels, 36 ans, -16 kg*
*Avec le programme de perte de poids WeightWatchers®, vous pouvez perdre jusqu'à 1kg par semaine. Les résultats de perte de poids peuvent varier d’une personne à l’autre et ne peuvent être garantis. Karin a récemment perdu du poids avec monWW+® et les ateliers virtuels.
« Aujourd'hui, je fais beaucoup plus attention à ce que je mange et je profite aussi plus consciemment de mes repas. »
Que des bonnes choses !
Karin a rejoint WW en 2007, lorsqu’elle a voulu se marier. Son objectif était de perdre du poids pour le grand jour. Comme sa tante avait déjà participé au programme avec succès, elle s’est inscrite - d’abord au programme at home, car les ateliers virtuels qu’elle apprécie aujourd’hui n’existaient pas à l’époque. Elle a réussi à perdre deux kilos juste avant le mariage puis elle est tombée enceinte de son premier enfant. Quatorze ans et trois grossesses plus tard, ses fils âgés de 9, 12 et 13 ans ne sont pas les seuls à lui prouver que toutes les bonnes choses viennent par trois. Trois tentatives avec WW après chaque naissance ont également abouti à un succès durable.
Même si j’avais déjà vécu cette expérience à deux reprises, quand mon troisième enfant s’est annoncé, j’ai considéré cette grossesse comme une permission de rompre avec mes habitudes alimentaires saines. Un repas rapide dans le micro-ondes ou une pizza dans le four et toujours la main dans le sachet de bonbons ... Au final, j’ai pris 16 kilos, que j’ai voulu perdre à nouveau après la naissance de mon troisième fils, en 2012. Mon poids de forme, pour 1,54 mètre, c’est 50 kilos. Même trois kilos de moins seraient acceptables selon l’indice de masse corporelle (IMC) - j’y travaille, avec le précieux soutien des ateliers virtuels.
Depuis 2017, c’est devenu globalement plus difficile pour moi. On m’a diagnostiqué des rhumatismes et je prends des médicaments, comme la cortisone, qui m’ont fait prendre environ cinq kilos. Mon poids augmente aussi, en partie, en raison de la rétention d’eau qui accompagne la maladie. En attendant, je ne m’inquiète pas et je ne me pèse généralement qu’au début et à la fin du mois. Je ne prends plus les petites fluctuations au sérieux. Ainsi, quand j’ai pris deux kilos pendant mes dernières vacances, je n’ai pas paniqué. Après tout, je sais exactement comment faire pour les reperdre rapidement.
Des habitudes saines dans la vie quotidienne
Ma journée commence à 5 heures du matin, car à partir de 6 heures, je suis au volent de mon camion. Avant de partir, je me prépare un séré allégé avec du muesli pour le petit-déjeuner et, par exemple, un plat de tortellini WW pour le dîner, lorsque je rentre de ma tournée. Et bien sûr, j’inscris tout ce que je mange dans l’app WW. Entre nous, la cuisine n’est pas une de mes grandes passions. Mais aujourd’hui, je suis beaucoup plus consciente de ce que je mange, j’apprécie également les repas de manière plus attentive et je planifie toute la semaine.
Des ateliers virtuels en guise d’accompagnement
Pour moi, les ateliers virtuels sont le compagnon idéal du programme. Il y a toujours l’échange, on peut discuter des sujets en petits groupes, poser des questions au Coach et aborder des sujets personnels. Ensuite, en plus d’une alimentation saine, il faut aussi faire de l’exercice, par exemple, ce qui ne jouait pas un grand rôle pour moi dans le passé. Avec la perte de poids, le désir d’activité est apparu. À cause de ma maladie, je ne peux pas tout faire. Mais, par exemple, pratiquer régulièrement 30 minutes de vélo elliptique me fait du bien. Les méditations sous forme d’entraînement mental et d’entraînement autogène sont également importantes pour moi. Je fais cela pendant environ 40 minutes tous les soirs avant d’aller me coucher. J’adore le fait que WW propose également, avec Headspace dans l’app WW, des sessions plus courtes, pour les débutants, pour créer un état d’esprit positif.
Le conseil de Karin :
J’ai dû apprendre que le chiffre sur la balance ne fait pas tout. Ne vous laissez donc pas stresser si votre poids augmente ou stagne. C’est tout à fait normal, et ma devise est alors la suivante : ne pas y penser trop longtemps, faire avec.