WeightWatchers est une entreprise qui se consacre au changement comportemental fondé sur la science. Afin de garantir que notre programme soit au niveau des découvertes cliniques les plus récentes, nous recrutons des experts de renom qui nous fournissent des informations et conseils concernant les innovations de notre marque.
découvrez le comité consultatif scientifique de WeightWatchers :
Cheryl A.M. Anderson, PhD, MPH, MS
Professeure et présidente par intérim du département de médecine familiale et de santé publique de la faculté de médecine de l’université de Californie à San Diego, Cheryl A. M. Anderson y est principalement affectée au service de médecine préventive et accessoirement au service de néphrologie et d’hypertension.
Elle est directrice du Centre d’excellence en matière de changement comportemental et d’équité liés à la santé de l’université de Californie à San Diego. Elle a obtenu une maîtrise en comportement lié à la santé et en éducation de la santé à l’école de santé publique de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill ainsi qu’une maîtrise en épidémiologie et un doctorat en sciences de la nutrition à l’école de santé publique et de médecine communautaire de l’université de Washington à Seattle. Ses recherches portent essentiellement sur le rôle de la nutrition dans la prévention des maladies chroniques. Madame Anderson a siégé au comité consultatif technique de l’Organisation panaméricaine de la santé sur la prévention des maladies cardiovasculaires par la réduction du sel dans l’alimentation, au conseil sur l’alimentation et la nutrition des Académies nationales de médecine et au comité consultatif américain sur les directives alimentaires de 2015. Actuellement, elle fait partie du comité de rédaction de Circulation. Elle a en outre été élue membre de l’Académie nationale américaine de médecine en 2016.
Professeur, directeur du département de nutrition, d’activité physique et de sport de l’université de Copenhague (Danemark) et consultant principal au CHU ClinHerlev-Gentofte.
Les recherches du professeur Astrup portent essentiellement sur la physiologie et la pathophysiologie du métabolisme énergétique et des substrats, et sur la régulation de l’appétit. Elles sont notamment axées sur l’étiologie et le traitement de l’obésité par des méthodes qui incluent le rôle de la composition de l’alimentation et de nutriments spécifiques, le changement du mode de vie, les régimes à très basses calories, l’activité physique et la prise de médicaments. Il a mené des recherches qui ont montré que le GLP-1 était une hormone de satiété présente chez les humains et a joué un rôle décisif pour que le Danemark devienne le premier pays à bannir les graisses trans industrielles en 2014.
Détenteur d’une chaire Bishop-MacDermott de psychologie, neurosciences,
santé mondiale et médecine à l’université Duke.
Gary G. Bennett dirige le centre de science du numérique pour la santé à l’université Duke. Il est aussi président de la Société de médecine comportementale. Son programme de recherche conçoit et expérimente des traitements de l’obésité s’appuyant sur le numérique comme la méthode de traitement interactif de l’obésité (iOTA). Ses récents travaux démontrent l’efficacité des traitements de l’obésité qui s’appuient sur le numérique tout en étant placés sous le contrôle d’un entraîneur. Il est l’auteur de plus de 125 publications scientifiques et son programme de recherche est constamment soutenu par les Instituts nationaux américains de la santé. Avant de rejoindre l’université Duke en 2009, il a travaillé aux facultés de l’école de santé publique d’Harvard et de l’institut de recherche sur le cancer Dana-Farber. À Duke, monsieur Bennett est membre de la Bass Society of Fellows, il est directeur fondateur d’une formation de premier cycle sur la santé mondiale. En outre, ce professeur s’est classé à plusieurs reprises parmi les cinq pour cent les meilleurs au niveau du premier cycle universitaire. Il a également cofondé deux startups en santé numérique: Crimson Health Solutions (acquise par Health Dialog en 2007) et Scale Down (acquise par Anthem en 2017).
Professeur de recherche sur les services et systèmes de santé à l’école de médecine pour le troisième cycle Duke-NUS de Singapour et directeur général du centre de soins palliatifs Lien.
Le professeur Finkelstein occupe également des postes à l’école de santé publique NUS et à l’institut de santé mondiale de l’université Duke. Ses recherches portent essentiellement sur les causes et les conséquences économiques des comportements liés à la santé, et notamment sur le recours à des incitatifs économiques traditionnels et comportementaux pour influencer ces comportements de façon à améliorer la santé publique. Il a récemment consacré ses recherches aux décisions complexes relatives aux soins en fin de vie.
Professeur de médecine à l’école de médecine Feinberg de l’université Northwestern, chef de clinique du Centre d’études sur l’obésité Northwestern et directeur du Centre de médecine liée au mode de vie de Chicago.
Les recherches du docteur Kushner portent principalement sur la communication entre le patient et le prestataire de santé, et le traitement de l’obésité lié au mode de vie. Il s’est aussi penché sur les interventions pharmacologiques et chirurgicales chez les personnes souffrant d’obésité.
Détenteur d’une chaire Irving Schulman en médecine infantile et professeur de pédiatrie et de médecine au service de pédiatrie générale et au Centre de recherche sur la prévention de la faculté de médecine de l’université de Stanford, et directeur du centre pour un poids sain à l’université de Stanford et à l’hôpital pour enfants Lucile Packard de Stanford.ucile Packard Children’s Hospital in Stanford.
Le docteur Robinson dirige le Stanford Solutions Science Lab. Il étudie entre autres l’obésité et les troubles alimentaires, la nutrition ainsi que l’activité et l’inactivité physique. Auteur de nombreuses publications scientifiques, le docteur Robinson donne également des cours aux étudiants de premier cycle et au-delà à Stanford, et travaille au service pédiatrique de l’hôpital pour enfants Lucile Packard. Il est titulaire d’un bachelor en sciences et d’un doctorat en médecine de l’université de Stanford, ainsi que d’une maîtrise en santé publique de l’université de Californie, à Berkeley. Il a été formé en pédiatrie à l’hôpital pour enfants de Boston et à la faculté de médecine d’Harvard.
Présidente de SR Strategy qui, dans une démarche faisant le trait d’union entre la science, la communication et la politique, aborde un vaste éventail de problèmes de santé, de nutrition, de salubrité alimentaire et de risques à l’échelle mondiale, elle est également professeure auxiliaire à l’université du Massachusetts à Amherst et à la Friedman School of Nutrition Science and Policy de l’université Tufts.
Auparavant, Sylvia Rowe a été présidente et directrice générale du Conseil international de l’information sur l’alimentation (IFIC) et de la Fondation IFIC, à Washington, DC. Au cours des onze années de mandat de madame Rowe, l’IFIC est devenu l’un des leaders de la recherche auprès des consommateurs et de la communication axée sur les consommateurs dans les domaines de la nutrition, de la salubrité alimentaire et de la santé.
Professeure en comportement lié à la santé et en nutrition à l’école de santé publique mondiale Gillings de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, directrice de la communication pour les applications et les interventions dans le domaine de la santé au Centre de recherche sur la nutrition et l’obésité et au Centre de traitement du cancer Lineberger.
Les recherches de Deborah Tate portent sur la prévention et le traitement de l’obésité, et proposent des approches novatrices qui font appel à la communication, à la technologie et aux médias numériques dans le domaine de la santé.
Détenteur d’une chaire Albert J. Stunkard de psychologie au département de psychiatrie de la faculté de médecine Perelman à l’université de Pennsylvanie et directeur du Centre de traitement du poids et des troubles alimentaires.
Les recherches de Thomas Wadden portent essentiellement sur le traitement de l’obésité grâce à des méthodes comme la modification du mode de vie, les régimes à très basses calories, l’activité physique, la prise de médicaments et la chirurgie. Il étudie également les répercussions métaboliques et psychosociales de l’obésité et de la perte de poids.